Alors que le monde entier espère des récoltes records pour freiner la crise alimentaire, on craint aux Etats-Unis et dans d'autres grands pays producteurs que celles-ci soient décevantes.
Les producteurs américains de maïs et de soja souffrent actuellement des pluies trop abondantes tandis que les producteurs australiens de blé sont une nouvelle fois confronté à la sècheresse. Ces facteurs climatiques retardent la période clé de la semence, réduisant ainsi les perspectives de bons rendements.
Les producteurs américains de maïs et de soja souffrent actuellement des pluies trop abondantes tandis que les producteurs australiens de blé sont une nouvelle fois confronté à la sècheresse. Ces facteurs climatiques retardent la période clé de la semence, réduisant ainsi les perspectives de bons rendements.
Le monde a plus que jamais besoin de plus de soja, de maïs et de blé. Les agriculteurs du monde entier ont répondu au challenge en remettant en culture des millions d'hectares. Mais les aléas climatiques rendent chaque année la tâche plus difficile.
Au moment même où le Midwest américain devrait être couvert d'un immense tapis vert, les farmers de l'Iowa ou du Wisconsin doivent attendre la fin des innondations pour semer soja et maïs. En Australie, les faibles niveaux de précipitation ne permettent toujours pas aux agriculteurs de semer leur blé. Ces délais aurront là aussi des conséquences néfastes sur les rendements. Les experts prévoient déjà une récolte de blé en dessous de la moyenne pour ce grand pays producteur.
Les agriculteurs ont pour habitude de dire que les prix élevés ne durent jamais, car en encourageant la production, ils contribuent à couvrir rapidement la demande pour ainsi faire baisser les cours. La conjoncture actuelle pourraient leur donner tort. Si la surface cultivée a augmenté de manière significative, plusieurs éléments pourraient affecter les rendements.
En plus de la mauvaise météo, les agriculteurs subissent de plein fouet l'explosion des coûts de production. Le prix du carburant a doublé et celui des engrais, élément clé de la productivité, a éte multiplié par 3 ou 4 par rapport à la dernière campagne (et la hausse continue...). Fertiliser ses cultures apparait aujourd'hui comme un luxe. On préfère baisser les dose au risque d'obtenir des rendements moindres. Cela aura indéniablement un impact sur la production, et la répercussion sur les prix risque d'être douloureuse. Les prix records qu'ont connu les denrées agricoles au début 2008 pourraient facilement être dápassés.
Sources: USDA, NY Times
Au moment même où le Midwest américain devrait être couvert d'un immense tapis vert, les farmers de l'Iowa ou du Wisconsin doivent attendre la fin des innondations pour semer soja et maïs. En Australie, les faibles niveaux de précipitation ne permettent toujours pas aux agriculteurs de semer leur blé. Ces délais aurront là aussi des conséquences néfastes sur les rendements. Les experts prévoient déjà une récolte de blé en dessous de la moyenne pour ce grand pays producteur.
Les agriculteurs ont pour habitude de dire que les prix élevés ne durent jamais, car en encourageant la production, ils contribuent à couvrir rapidement la demande pour ainsi faire baisser les cours. La conjoncture actuelle pourraient leur donner tort. Si la surface cultivée a augmenté de manière significative, plusieurs éléments pourraient affecter les rendements.
En plus de la mauvaise météo, les agriculteurs subissent de plein fouet l'explosion des coûts de production. Le prix du carburant a doublé et celui des engrais, élément clé de la productivité, a éte multiplié par 3 ou 4 par rapport à la dernière campagne (et la hausse continue...). Fertiliser ses cultures apparait aujourd'hui comme un luxe. On préfère baisser les dose au risque d'obtenir des rendements moindres. Cela aura indéniablement un impact sur la production, et la répercussion sur les prix risque d'être douloureuse. Les prix records qu'ont connu les denrées agricoles au début 2008 pourraient facilement être dápassés.
Sources: USDA, NY Times
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